Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Dans le cadre de mes fonctions professionnelles, je suis amené parfois à rencontrer pas mal de femme.

Étant amateur de la gent féminine, et ne le cachant pas, juste avant la rencontre d’une nouvelle demoiselle,
une collègue de bureau m’explique que M.C. est en couple, marié et que je suis pas du tout son genre.

Le premier contact est sympa et, puisque nous allons devoir passer presque cinq jours ensemble, c'est plutôt bon signe.

L’aspect boulot n’étant pas particulièrement intéressant,
si ce n’est que quelques coups d’œil complices concernant des invités qui la drague, je ne vais pas m'étendre…

Je me retrouve à devoir la ramener chez elle. Je me gare et nous continuons à discuter.
Il est bientôt 1h du matin, et elle me propose de venir boire un verre.

Son mari n’est pas là et cela ne semble pas la perturber.
Il rentre régulièrement tard, passant plus de temps au boulot qu'a s'occuper d'elle.
Je tente alors une approche, elle me repousse !
Mais elle me repousse en me disant « pas ici ».

On finit le verre, et je lui propose de venir dormir chez moi le lendemain, je suis, en effet,beaucoup plus près de notre lieu de travail actuel.

Toute la journée, nous échangeons des sourires complices,
je ne peux m’empêcher de rigoler quand ma collègue, qui m’avait dit que ce n’était pas la peine,
vient me voir et me dit que de toute façon c’est mort avec M.C.

J’excuse mon rire en trouvant un prétexte bidon, mais étonnamment crédible.
Les gens croient toujours ce qu’ils ont peur de croire ou ce qu’ils ont envie de croire.

Le soir arrive, j’annonce que je la ramène, sans préciser ou !

Nous arrivons chez moi, nous avons déjà dîner, et il est 1h du matin, encore…

Je me glisse dans son dos et me colle contre elle, je grignote son oreille, et allume sans le savoir la mèche…

Elle est en effet très sensible des oreilles.

Mes mains partent de ses épaules, glissent sur ses seins,
l’une s’arrête et l’autre continue son investigation jusqu'à son entrejambe.

Peu à peu nos vêtements disparaissent et je la jette sur mon lit.

C’est une excellente fellatrice, pas seulement dans la technique mais aussi dans les attitudes.

Elle se révèlera aussi douée pour les autres pratiques.
Cette rencontre sera très courte, en raison de la fatigue et de la nécessité de se lever tôt.
Mais deux choses me séduiront fortement, son hypersensibilité après l’orgasme,
rendant chacune des caresses que je lui prodigue extrêmement sensuel,
et l’attention qu’elle me portera à chaque fois après l’acte.

Loin de se tourner de son côté, de se plaindre de ne pas être assez chouchouté,
elle comprend parfaitement que nous sommes deux et que les caresses que je lui donne après son orgasme,
j’aime qu’on me les prodigue après le mien.

Je me souviendrais toujours de la douceur de ses cheveux roux caressant mon dos,
mes jambes ou encore mon torse…

Sensation d’autant plus puissante que je viens de jouir et
que chaque centimètre carré de ma peau est un volcan de sensations.

Un petit aperçu de ses charmes :