Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 12:34
- Publié dans : Les pas qui m'ont mené au D/s
Par Domicerebral2
Il s’agit d’une personne après K.M. et je la nommerais A.S.

C’est une histoire récente, et pour situer l’ensemble, il est nécessaire de revenir un peu en arrière.

Cela fait un an que je fais l'effort de me plier à une relation « classique » avec G.C., j’ai sacrifié pas mal de chose…
Malgré cela, c’est elle qui finit par rompre.
Elle jette aux orties, pour un caprice, des concessions que je ne pensais jamais pouvoir lacher.

Malheureusement, se greffe simultanément, plein de petits soucis.
Je suis à la limite de la dépression quand A.S., qui jusque là ne voyait en moi qu'un sadique pervers et gros con,
me fait du rentre dedans.

Elle ne me plait pas, de plus, elle est en couple avec un autre type de mon bureau…

Mais elle m’écoute, j'en ai besoin, et je lui en suis redevable…

Elle m’explique aussi ses soucis. Ils ne sont plus ensemble depuis trois mois,
mais il ne veut pas le dire parce que ça ne regarde personne au bureau.

Ils vivent cependant encore dans le même appartement pour des raisons financières.

Elle m'explique, que lui, va voir ailleurs avec l’ex de son meilleur ami,
mais qu’il cherche toujours à « récupérer » son couple.

Il finira par l'apprendre, nos escapades, je vous laisse imaginer l'ambiance au boulot.

Je la repousse pendant près de deux mois…
Mais une complicité s’établit quand même, physiquement ce n’est pas mon style,
mais en ce moment j’ai surtout besoin d’écoute.

Elle me parle de ses envies de soumission, d’être traitée comme une salope…

J’ai beau la repousser, lui dire qu’il faut qu’elle éclaircisse les choses avec son ex…
Rien ni fait, elle insiste.

Et, un jour, je me laisse aller, trop fatigué, trop seul, c’est finalement plus facile de ne pas résister.
Elle me suce dans les chiottes du bureau, je lui inonde la gorge… Et j’ai un sursis !
Les visites aux chiottes deviennent journalières.
Ni douceur, ni ménagement. Je la baise, par la bouche comme par le sexe.

Un soir, elle s’impose chez moi. C’est butal, comme toujours, je la dresse sans même qu’elle s’en rende compte.
Je lance un « en position » doux, mais ferme.
Elle ne discute pas, baisse son pantalon et se met en levrette.
Sans gel, sans préparation, sans caresse, je rentre d’un coup. Je lui demande ce qu’elle ressent.
Elle me dit qu’elle a mal, mais quand je fais mine d’arrêter ou d'y aller plus doucement, elle plaque ses mains contre mes cuisses et se cambre...

S’offrant encore plus à mes coups de hanches et a la douleur.

Savoir qu’elle prend son pied et qu’elle souffre m’excite au plus haut point.
Je lui tire les cheveux, lui dit qu’une chienne doit être fier de se faire défoncer ainsi « alors lève la tête ». Et je lui tire encore les cheveux.

Je la sais analement vierge.
Je devine le rictus qui se dessine sur mon visage.
Je glisse un doigt, puis deux, elle à mal, mais ne fait aucun signe pour m'arrêter.

Je sors de sa chatte, et m’enfonce doucement mais sans interruption au plus profond d’elle.
Une fois entré, je la prends sans ménagement. J'attends qu’elle utilise le « safeword ».
Je veux qu’elle le prononce, je sais qu’elle ne va pas tarder à l’utiliser. Et ça ne m'en donne que plus d'ardeur.

Je finis alors en gorge profonde. Encore une fois, je l'inonde.

Je n’ai aucun plaisir, dans ces coïts, juste ce sentiment de plénitude et de vide qui signifie que je viens d'évacuer mes pulsions.
Elle profite de ma faiblesse, et même si je la guide vers des horizons de plaisir qu’elle ne connaît pas,
je me sens très faible. Je n’aime pas.

La dernière fois qu’on a baisé ensemble, j’ai tenté la tendresse.
Ce n’était pas désagréable, mais tellement faux.
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