Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

J’ai RDV avec C.S.C. elle m’accompagne pour un shopping…

Rassurez vous, ce ne sera pas le sujet.

Je me pose à coté d’une fontaine, je sors mon bouquin, et je commence à lire.

Ma lecture est perturbée par des éclats de voix…

Je lève la tête, et je découvre à ma droite deux blondes, une vingtaine d’année, elles semblent savoureuses…

Cependant, il est évident que leur esprit est jeune, frais et donc très agréable par certain aspect.

Ce qui me fait levé la tête c’est entendre dans la voix d’une de ces jeunes femmes la phrase suivante : « Le porno ça peut être bien mais soit on a des film érotiques bien filmé mais naze, soit on a des films très cul mal filmé ».

Je lève les yeux, mon regard croise celui de la grande gueule une fois puis deux... Elle est jolie, je lui rend son sourire, et elle m’invite à les rejoindre.

Je savais qu’elle allait le faire.

Le débat est lancé, elle veut être journaliste rock, mais aussi réalisatrice et actrice porno, en couple mais libertine et bi dans le dos de son mec.

Je lui expose ma situation personnelle, ça la titille.

Elle porte un chapeau, j’aime les femmes à chapeau.

Parlons de l’autre, C.S.C. me dira qu’elle préférait la première, mais moi, j’aime bien les deux, physiquement. Pas vraiment une libertine, pas bi non plus, mais, elle se vante d’avoir quatre amants.

Dans le fil de la discussion, je leur propose de faire un truc ce soir, ou demain soir… Je leur dis que je les appellerais en début de soirée parce que je ne sais pas ce que je ferais moi-même.

[Séances de shopping]

C.S.C. et moi passons chez moi, on mange et avant de repartir, nous faisons un peu de sport.

Quand nous repartons il est 21h30, j’appelle les deux demoiselles.

Elles sont encore au même endroit et me répondent qu’elles ne savent toujours pas ce qu’elles vont faire : on te rappelle dans trente minute !

J’en profite pour raccompagner C.S.C. et cela tombe plutôt bien, car cela veut dire croiser les deux demoiselles.

Elles ne me rappellent pas, et je débarque sur la place.

Elles sont là, elles voulaient se procurer des substances illicites pour aller s’amuser, mais elles se sont fait arnaquer : trois cachets contre le palu, je souris intérieurement.

Finalement, déçues, elles décident de se rentré.

Moi j’erre un peu, je tombe sur un groupe de personnes, ont discute. Le courant passe bien.

Il me propose de gober avec eux, je refuse poliment (je ne bois pas, ne fume pas, et ne me drogue pas, je suis déjà assez dingue comme ça).

Mon sourire intérieur s’élargit, si au lieu de me snober elles m’avaient suivie, elles auraient eu ce qu’elles recherchaient.

Je les rappellerai peut être, ou pas.