Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

C.S.C. aime la sodomie, mais, elle est toujours récalcitrante par manque d’habitude.

Il y a deux soirs, nous avons passé la soirée ensemble, discussion, papotage, problème de cœur de l’un et de l’autre.

Bref une petite soirée sympa.

Mais, comme toujours, quand nous franchissons le seuil de la chambre, ce n’est plus la même, je ne la regarde plus pareil, elle devient l’objet sexuel que je dois faire jouir, que je dois exciter.

Je satisfais mes désirs et pulsions en lui faisant découvrir des actes, des attitudes, des comportements déviants… Pour son plus grands plaisir.

Afin de lui faciliter la tache, et sachant qu’elle se masturbe deux fois par jour,  je lui avais demander d’accompagner ses masturbation clitoridienne et vaginal de petit doigt dans son cul.

Je lui demande si elle a obéit, et avec un sourire jusqu’au oreille elle me réponds qu’elle ne c’est pas masturbé…

Je n’aime pas qu’elle se moque de moi, et je lui réponds que si j’avais demandé ça, c’était pour lui faciliter la tâche, qu’elle puisse prendre du plaisir quand elle doit m’en donner.

Elle comprend alors que je ne vais pas y aller doucement.

Très vite, elle se dandine essai d’échapper a mon sexe, mais elle n’utilise pas le « safeword », et je continu.

J’entre mon gland, je titille un peu, je la ressors, lui fout dans la bouche, et la force a aller plus loin.

Je retourne dans son sexe béant, puis redescends dans son trou du cul.

Assez vite, je suis entièrement en elle, et je lui demande si elle aime…

Oui…

« Alors supplie moi pour que je continue à t’enculer »

Et elle le fait, avec ardeur.

Je l’insulte, lui demande ou est la petit pétasse qui couinait parce que le bout de ma queue entrait a peine.

Elle prend tout, elle à apparemment mal, mais quand je lui demande si je devrais arrêter, elle me supplie encore de continuer.

Elle sursaute a chacun des soubresaut de mon sexe. J’adore cette sensation de puissance. Cela m’excite encore plus.

Je me demande d’ailleurs ce qui m’excite le plus, lire dans leur regard se mélange de douleur et de plaisir, la sensation d’abandon qui émane d’elle et au passage la sensation de puissance qui en découle, ou enfin la résistance qu’offre certaine…

Puis viens la monté en puissance de mon plaisir,  la bride de ma bestialité est lâché,  je fonce, je ne cherche plus a adapter mon rythme, elle crie, me dit qu’elle à mal, qu’elle veut que j’arrête…

Mais pas de « safeword », je suis fière d’elle, et je m’en donne a cœur joie… Et j’explose, les pulsations de mon sexe se reflètent dans les spasmes de son corps.

Je me retire, et m’allonge, je suis bien. Elle est fébrile, et je sais qu’elle aime cet état.

Je lui demande ce qu’elle doit dire, et elle me remercie.

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