Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Qu’elle déception !

Elle était pourtant prometteuse, obéissante au téléphone comme à la caméra…

Je la vois  connecter sur MSN, elle ne vient pas me parler, alors je la wizz, et lui jette un « alors n dit pas bonjour petite salope ».

Un petit « excusez moi monsieur » apparaît.

Je lui demande pourquoi elle n’est pas a quatre patte devant moi comme elle aurait dû.

Elle s’excuse encore, m’explique qu’elle ne sait plus trop ou elle en est, me dit qu’elle à honte de jouir.

Et cela m’interpelle… Honte de jouir, ou honte de sa manière de jouir ?

Et sa réponse m’assomme presque : honte de jouir simplement que ce soit de manière vanille ou BDSM.

On discute, elle m’explique qu’elle a vue un maître, juste pour un soir, que cela lui manquait, qu’elle ne peut pas contredire ses réactions physiques, elle était trempé parce qu’il l’as traité comme une chienne, un objet…

Mais, il lui a fait mal, sur le moment c’était « normal » et pas désagréable enfin si mais cela fait partie de ce qui l’excite, mais aujourd’hui, elle a encore mal, et ça elle n’aime pas.

Mais le problème n’est pas là, elle vient de « replonger » et maintenant qu’elle émerge, elle a l’impression que c’est le bordel dans sa tête… Qu’elle n’arrivera jamais a trouvé un équilibre.

Elle me dit qu’elle préférerai se faire chiez au lit, dans une relation classique, plutôt qu’avoir ce bordel dans sa tête.

Je l’interroge, et j’apprends qu‘elle sort d’une période « désertique » en terme de relation, vanille ou BDSM.

Et l’évidence me saute aux yeux.

C’est comme quand on fait une nuit blanche, si on se couche pour dormir deux heures… A notre réveil c’est pire !

Pour elle c’est la même chose, elle n’a pas dormi depuis  beaucoup de temps, et elle a besoin d’un vrai lit pour dormir pour une vraie nuit.

Elle ne s’est couchée que deux heures, et le réveil est dur.

Elle sort d’une relation BDSM suivie, elle est en « manque », elle a sauté sur un Maître de passage, mais il lui faut du suivie, du plus long, de l’évolutif, du travaillé.

Je l’excuse, elle n’est pas venue, mais ce n’est, finalement, pas grave. Car, au final, elle c’est offerte encore plus à moi.

Je lui dis que l’ordre reviendra, et qu’elle devra obéir cette fois.

Elle me dit qu’elle espère qu’elle pourra.