Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

C’est une des dernières soirées libertines auquelles j’ai participé.

Il y avait deux femmes, soumises, qui était là pour participer a un gang bang.

Et deux autres en tant que public.

Les deux soumises sont très désirables, mais différentes.

La première est grande brune, fine, cheveux frisés assez longs. Je l’avais déjà vu en photo masquée sur certain site internet, je l’avais trouvé banale. Maintenant que je la vois en vrai, je me rends juste compte qu’elle n’est pas photogénique.

La deuxième est plus charnue, blonde, et gourmande. C’est une découverte totale pour moi.

La soirée commence assez vite, ces dames ont « faim ».

Très vite leur bouche se remplie de sexe, il doit y avoir huit hommes pour les satisfaire. Elles n’auront pas vraiment le temps de se reposer…

Le tableau est dressé, je peux maintenant m’arrêter sur les éléments qui ont retenue mon attention.

Mes premiers assauts se trouvent tourner vers la brune. Je lui remplis la bouche, elle à l’air satisfaite, surtout qu’un autre prend soin de lui laisser sa queue à porter pour qu’elle ai les mains occuper.

Excité, je me dirige vers son entrejambes, j’ai envie d’entrer en elle…

Ma main heurte alors un objet, froid, en métal. Je regarde et découvre un cadenas.

Je la regarde d’un air interrogateur, et elle me dit qu’il faut demander la clé à son Maître.

Je me tourne alors vers lui. Il me demande si elle a bien fait son « devoir » en me suçant, j’hoche la tête de façon affirmative. Il sort sa clé, la libère et, sans ménagement, la retourne contre le dos du canapé.

Elle m'est maintenant offerte, penché, les mains appuyées sur le haut du canapé, la croupe offerte.

A ce moment là, je lève la tête, et je vois la blonde, allonger sur le dos, dans ce même canapé, les cuisses ouvertes, un homme en train de la masturber.
Elle semble très excité, et en même temps un peu gêner. 
Puis elle jouit, un long jet sort d’elle…

Une femme fontaine. Elle gicle, loin, le canapé est arrosé, elle n’y est pas vraiment pour quelque chose, l’homme voulait sûrement qu’elle réagisse ainsi, pour stimuler à la fois le plaisir de la soumise et sa gêne.

Je baisse les yeux sur la croupe qui m’est offerte, et je découvre un tatouage. Il ressemble à un marquage au fer, rond, on y voit une femme offerte en train de se faire pénétrer. Et un texte.

« Soumise à sodomiser. »

Je ne me fais pas prier, je suis excité, j’entre en elle, via la voie conseiller par le tatouage.

Sans préparation, et pourtant, je glisse parfaitement, le lubrifiant de la capote peut être ? Ou a t elle été préparer avant de venir ?

Je ne sais plus exactement le déroulement de la soirée, je sais juste qu'il s'agit du début de la soirée et ce qui me reviens à l’esprit est la chose suivante : 

Je suis allongé sur le dos, la brune est sur moi, en grenouille, j’entre et je sors, elle prend son pied. Elle fait des mouvements de va et viens.

Mais, l’excitation montant, je l’attrape par les hanches, je la soulève légèrement pour qu’elle ne bouge pas, et avec de vifs mouvements de bassin, je la prend.

Je vais bien au fond, peut être même trop au fonds. En fait, non, je sais que je vais trop au fonds. Cette tension caractéristique des femmes quand on s’enfonce trop en elle, cette tension qui rigidifie leur dos. Et en même temps, sur leur visage, cette volonté de ne surtout pas arrêter, mélange de plaisir et de douleur.

Je vais venir, l’as t elle sentit ? Si c’est le cas, elle est vraiment douée. Car c’est à ce moment qu’elle reprend les choses en mains qu’elle va et vient sur ma queue de plus en plus fougueusement et de plus en plus profondément.

Je l’attrape par les cuisses, et la plaque sur mon sexe, entrant le plus loin qu’il m’est possible de le faire. Je ne laisserai pas une soumise prendre le dessus.

Le choque électrique du plaisir explose, vif et intense, suivie de cette sensation, apaissante, de plénitude.

 
Je me repose, elle se lève, retire mon préservatifs. Elle le prends en main, plaque l’entré sur ses lèvres, et aspire.

Sa langue nettoie totalement la capote de ma jouissance.

L’organisateur de la soirée lance alors « j’ai oublié de vous prévenir, ces dames boiront l’intégralité du sperme que vous émettrez, soit dans vos capotes, soit directement à la source ».

L’idée est, pour moi, excitante. La voir se réaliser, me fait finalement que peu d’effet.

Elles se contenterons de vider mes capotes. Après tous, je ne les connais pas !