=== Le parcours d'un adolescent formaté vers un adulte libéré ===
Le Dominant, loin d'imposer,
N'est que le guide forestier
De la soumise qui as accepté
Sur les chemin du plaisir
De se laisser guider.
"Les gens croient ce qu'ils ont peur de croire et/ou ce qu'ils ont envie de croire"
T. Goodkind
Revenons sur un épisode avec D.V., la demoiselle « aux fraises ».
Avec moi, cette jeune femme à, je crois, découvert les vrai possibilités de son corps.
Elle vie avec son ami, on une activité sexuelle régulière, mais il semblerait que pour elle ce ne soit pas son « truc ».
Elle aime être courtiser, mais qui n’aime pas cela ?
Et finis par craquer à mes avances, chaque soirée est une reprise du jeu de la première rencontre. Rien n’est jamais acquis.
Il faut là séduire à chaque fois, comme si l’acte sexuel était la récompense qu’elle nous offrait.
Un évènement va faire basculer cet équilibre.
A la fin d’une soirée câline et coquine, elle, allongé a ma gauche, contre moi, ma main va glisser doucement vers son clitoris.
Je sais qu’elle aime cette caresse, c’est un cadeau doux pour la faire redescendre peu à peu.
Sans réellement le vouloir, mais pas innocemment non plus, je trouve « le » mouvement qui la fait réagir.
Je la caresse donc de ce petit geste du doigt, presque innocent, et laisse le plaisir l’envahir.
De plus en plus fébrile, elle se laisse faire, je vois ses mains qui se glissent vers son propre entrejambe, un peu comme si elle voulait que j’arrête.
Pourtant, à chaque fois, au moment d’attraper ma main, pour la repousser, ses bras, d’eux même se replis sur sa petite poitrine !
Elle s’offre, ouvre de plus en plus les jambes, je lui demande de me dire ce qu’elle ressent, et elle essai, entre deux légers râles de satisfaction.
Puis elle explose, se jette contre le bord du lit, repousse ma main, reprend sa respiration, se recroquevillant sur elle-même, elle me souffle « comment tu m’as fait ça ? ».
Elle à 24 ans, je viens de lui offrir son premier orgasme clitoridien !
A partir de ce jour là, voyant que je connaissais mieux son corps qu’elle-même (ou presque, tout du moins mieux que son compagnon), elle va s’offrir sans limite, se laisser attaché, me laisser guider.
Elle qui trouvait les rapports buccaux génitaux « sale » se laissera explorer par ma langue avide et curieuse.
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