Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Je sais que je vais me répéter, pourtant, je dois le dire, peut être pour m’exorciser, ces derniers temps, bien que j’ai eu des choses à raconter, je ne trouvai pas les mots pour les décrire.

Revenons sur mon escapade lilloise tout d’abord.

Lille, ce n’est plus qu’à une petite heure de Paris, vive le TGV, et j’en suis bien triste vu la charmante compagnie que j’y ai eue !

Je quitte donc un Paris gris et terne, pour un Nord que je suppose encore plus gris, froid et terne. Encore un préjugé qui tombe. Alors qu’il fait un temps maussade sur notre belle capitale, je découvre un magnifique soleil sur Lille. Soleil, je vous l’accorde frais, mais soleil tout de même !

Mon amie, qui devait m’attendre sur le quai de la gare, n’est pas là ! Au bout d’une dizaine de minute de patience, je dégaine mon téléphone et l’appel !

Il me faut, ici, faire un petit aparté me concernant. Par principe, j’aime avoir le choix dans tout ce que je fais. Je déteste les situations de choix « par défaut », en être l’objet comme en être le sujet ! Par conséquent, je fais en sorte d’arriver toujours en avance à mes RDV, et ceux dans l’optique d’avoir toujours ce choix. En effet, quand on est en avance, je peux choisir de paraître, aux yeux de mon RDV, en avance, à l’heure ou en retard.

Certaines de mes amies, qui me lisent, découvriront ici que, loin d’être en retard, j’étais en avance, mais que j’ai pris un malin plaisir lors d’une observation préalable de leur comportement quand elles m’attendaient.

Ou en étais je donc ? Oui, bien sur, elle décroche son téléphone, et me dit qu’elle est actuellement sur la route.

Après quelques minutes d’attente, je reçois un coup de téléphone, elle me dit de regarder sur ma droite, elle me fait signe.

Le trajet en voiture, je l’espérait plus « campagnard », afin de l’arrêter sur le bord de la route, et de me livrer à une saillie en plein air !

Malheureusement, la route ne s’y prête pas vraiment.

Nous arrivons, donc, chez elle. Une belle demeure, que je prend le temps de visiter en terminant par le salon. Une fois en place, je l’attrape par la nuque, la jette sur le canapé, et la déshabille. Elle a pris quelques formes, ce n’est, cependant, pas désagréable, au contraire.

Je me glisse dans sa bouche, mes mains plaquées sur l’arrière de sa tête. Elle ne s’enfonce pas très profondément, mais joue bien de ses lèvres.

Le salon n’est pas le lieu le plus confortable, et nous nous rendons donc dans une chambre.

J’entre en elle sans ménagement, comme je l’ai fait dans le salon. Mon objectif est clair, cela fait pas mal de temps que nous ne nous sommes pas vu, j’ai du retard à combler et de l’avance à prendre.

Je la butine, j’entre et je sors, je m’enfonce d’un coup sec et ressort lentement. Je joue a l’entrée avec mon gland. J’essai de la rendre folle.

Elle est malheureusement vite fatiguée. Après seulement deux heures de jeu, elle se dit épuiser. Je me finis donc manuellement, en jouant de ma bouche sur son corps.