=== Le parcours d'un adolescent formaté vers un adulte libéré ===
Le Dominant, loin d'imposer,
N'est que le guide forestier
De la soumise qui as accepté
Sur les chemin du plaisir
De se laisser guider.
"Les gens croient ce qu'ils ont peur de croire et/ou ce qu'ils ont envie de croire"
T. Goodkind
Ecrire ce blog, et écrire en général, fait ressurgir dans ma mémoire des tronçon de ma vie que j'avais apparemment, et volontairement, oublié...
On pourrait croire que ce qui va suivre est en contradiction avec mon premier message, mais au final c'est juste complémentaire.
Mes premières expériences de la sexualité ne correspondent pas vraiment à l’image idéalisée qu’on peut voir dans les modèles que notre société
nous vend.
Je serais incapable de mettre un ordre chronologique sur les évènements que je vais raconter, pourtant je vais tenter de les décrire du mieux que je le
pourrais.
Sur mes six premières approches, car je ne considère pas ses aventures comme de vraies aventures sexuelles, seulement comme des tests, la moitié sont homosexuels.
Le premier qui me revient à l’esprit, et qui n’est pas forcément dans l’ordre chronologique, est un échange de fellation entre camarade de classe et
voisin.
J’ai entre une dizaine et une quinzaine d’année. Plus proche de la dizaine que de la quinzaine.
Il en est de même pour mon partenaire. La rencontre est de son fait.
Je ne sais plus comment nous en sommes venu à cela, mais nous nous retrouvons dans une cabane que nous avons construit, ou plutôt bricoler pour être exact,
dans une carrières à l’abandon à coté de chez nous.
Je me rappelle qu’il à plus de poil que moi, ce qui n’est pas bien dur, je suis très peu poilu, même aujourd’hui !
Et le goût de son sexe, il était salé.
C’est lui qui à commencer à me sucer, je n’en ai qu’un souvenir confus en terme d’image, et, pour ce qui est des sensations, aucun souvenir du tout.
Peut être une sensation d'humidité, de chaleur, cependant aucune excitation particulière.
C’est assez rapide, je n’y prend aucun plaisir, ni lui ni moi ne jouissons (enfin je suis pas sur pour lui, peut être c’est il finit manuellement).
En fait, je me rends compte, que jusqu'a très tardivement, avoir une érection était pour moi une chose gênante!
Pas dans le sens honteux,non, plutôt une gêne physique.
Moins de place dans mon pantalon par exemple, cela n'avais, à l'époque et étonnament, pour moi aucun lien avec la sexualité.
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