Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 11:08
- Publié dans : Fictions et envies
Par Domicerebral2

Comme vous pouvez le voir à la catégorie de classement, ceci n’est pas encore arrivé, mais je m’applique a faire en sorte que…

 

Première rencontre, Internet, toujours et encore. Elle c’est exhiber, elle a obéit a mes mots, puis a ma voix.

 

Je lui donne rendez vous, pas très loin de notre futur lieux de jeux, mais pas trop proche non plus.

 

Elle est à peu près à l’heure, elle ne sait pas que je l’observe. Elle s’assied sur le banc que je lui ai décris. Je lui envoi un SMS « ferme les yeux, et ne les rouvre pas »

 

J’attends qu’elle s’exécute, une fois fait, je me lève, je marche calmement vers elle, je me glisse dans son dos, m’a-t-elle déjà sentie quand je lui murmure à l’oreille que je vais lui bander les yeux ?

 

Je la prends par la main, et, un grand sourire aux lèvres, la guide jusque chez moi. Les passants nous regarde, certain avec un sourire… Qu’imagine t’il ? Probablement que nous sommes un couple et que je prépare une surprise a ma compagne…

 

S’il se doutait de la nature de cette « surprise ».

 

Je passe la porte, je lui ordonne de se déshabillé mais en conservant le bandeau.

Elle est là pour trois jours, et je lui fais comprendre qu’elle n’aura pas le loisir de l’enlever.

 

Je lui énumère les règles :

-         Quoi qu’elle veuille faire, elle doit me demander ma permission.

-         Sa tenue vestimentaire se limitera à son collier et son bandeau, parfois d’autres ustensiles pour faciliter sa soumission (menottes par exemple).

-         Je la doucherai, si j’estime qu’elle le mérite.

-         Je la nourrirai, si j’estime qu’elle le mérite, et si elle le demande.

-         Elle devra satisfaire mes envies, de nuit comme de jour, subir mes caprices et sûrement ceux d’ami(e)s de passage.

-         Sauf récompense, seul sa bouche, sa langue et son anus seront sollicités.

-         Son collier s’étoffera de ses succès, à chaque fois que je serais content d’elle, et que j’aurai satisfait mes pulsions en elle, la capote, usager mais noué, viendra s’attaché a son collier. De même pour mes amis de passage.

Elle est nue, enfin.

 

Je lui passe son collier, elle reste debout… Je l’attrape par les cheveux, la tire vers le sol, froid. Elle sait pourtant qu’une chienne obéissante reste à quatre pattes. Je la sermonne, et lui explique que je suis déçu de son comportement. C’est un bien mauvais départ.

 

Je lui passe la laisse, et j’avance.

Elle découvre l’escalier, elle monte, doucement, je l’encourage en lui disant que dans quelque jours, elle connaîtras les lieux sur le bout des doigts, ou comme la paume de sa main…

 

Il est 20h, mon estomac gargouille et le sien aussi.

 

Je la positionne a genoux, les mains devant elle, m’offrant sa laisse. Je lui dit qu’elle ne doit pas bouger, et que d’où je suis, je verrais chacun de ses soubresauts.

 

Je prépare à manger. Je lui parle en même temps, lui explique ce que  je fais, que j’aime faire la cuisine, et que d’après mon entourage, je me débrouille plutôt bien. Je lui tends des perches pour qu’elle me demande de manger.

Mais, malgré l’odeur qui envahit la maison, et je sais qu’elle a faim, elle ne me demande pas l’autorisation d’être nourrit.

 

Le repas est bon, je prends un coussin, la pose devant elle.

Je sais qu’elle m’entends allez et venir, sans vraiment savoir ce que je fait.

 

Cette sensation de pouvoir m’enivre, et je constate que ce plaisir est partagé.

Une flaque, de son plaisir, à envahit le sol.

Je n’ai pourtant pas fait grand-chose, les mots tel que « petite chienne », « garce », « pétasse », « vide couille », « sac à sperme »… Ont l’air d’être très efficace.

 

Mais elle n’a rien fait pour mériter mes assauts.

 Je lui décris ce que je vois, le rouge monte a ses joues.

Et je lui demande si elle mérite de me sentir en elle ?

 

Elle dit que non, elle me dit qu’elle aimerait pourtant bien…

Je titille l’entré de son minou du doigt, elle se tends, elle sait que je peux être dur sans prévenir. Je fait monté son désir.

Je sors des pinces seins/sexes. Et les installe.

 Elle gémit, elle sait pourtant que c’est quand je les enlèverais que cela fera le plus mal.

 

Je m’asseye devant elle, en tailleur. Je lui relève le menton,  et la gifle… Elle n’est pas surprise, elle sait que j’ai envie de la prendre, mais qu’elle doit le mériter.

Elle ne dit toujours rien.

 

Je lui écrase la tête sur l’oreiller, elle m’offre ainsi son cul.

A part le lubrifiant de la capote, elle sait qu’il n’y aura pas d’autres préparation.

 

J’entre d’un coup, et elle couine, elle crie…  Mais se refuse a me supplier.

Je sais qu’elle aime crier, qu’elle aime me sentir l’envahir, car après, elle est prise de spasmes de jouissance…

Et j’en suis fière.

Sa résistance est grande, mais après 20 minutes de pénétration sans ménagement, elle me supplie enfin de continuer. Je la prends alors avec douceur, mais son trou est si ouvert que c’est bien plus psychologique que physique.

 

Nous jouissons.

 

Je me retire, sors la capote, fait un nœud. Elle m’a fait jouir. Je me lève, m’éloigne d’elle,  je lis de la déception sur ses lèvres, elle espérait avoir son premier trophée… J’ouvre le robinet, et nettoie la capote fermée.

 

Je reviens, j’attrape son collier, et quand elle sens la capote, contre sa peau, un sourire irradie son visage, elle lâche un « merci » timide mais sincère.

Je lui embrasse le front, et lui caresse les cheveux.

La soirée n'est pas fini, il est à peine 22 heures

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