Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 12:40
- Publié dans : Evolution Chronologique
Par Domicerebral2
K.M. et moi n'habitons pas bien loin, plus exactement sur la même ligne de bus. 

Il doit y avoir, environ 10 arrêts, et de toute façon, quand je rentre du boulot, je passe forcément par son arrêt de bus. C'est le deuxième arrêt, après que je sois monté.

Et, hasard amusant ou coïncidence plaisante, elle m'appelle souvent, quand je rentre du bureau, juste entre ces deux arrêts.

Ce soir là, justement, elle m’appelle, me demande si j’aimerais passé la voir.

 

Son ton est innocent, et je ne peux pas savoir si c’est une soirée canapé, ou une soirée galipettes qui se préparent dans sa tête, peut être ne le sait elle pas elle-même.

 

Je sonne à l’interphone de son bâtiment. Elle me dit de monter.

 Je prends l’ascenseur, je le trouve toujours aussi étonnamment propre.

 

Dès que je sors, et que je me retrouve dans ce couloir si familier et si empreint de promesse de plaisir, j’aperçois la porte entrouverte…

 

Ce n’est pas un code officiel que nous avons créé, plutôt un code qui c’est imposé. Ce sera donc une soirée galipettes.

 

Je pousse la porte.

 

A peine ai-je posé un pied dans le salon que, derrière moi la porte se referme.

 

Elle est derrière moi, elle se serre contre moi et on s’embrasse fougueusement.

Je prend un malin plaisir à la repousser en lui disant « laisse moi arriver quand même»tout en accrochant un sourire qui lui promet tant de choses.

 

Ce soir là plusieurs choses vont basculer.


Nous jouerons dans le canapé, puis nous irons dans son lit, que j’adore…

 

C’est ce soir là qu’elle me laissera la promener en laisse pour la première fois, mais si je l'ai fait c'est de sa faute aussi une de ses remarques m’infantilisera et me transformera en objet.

 

Racontons donc ceci dans l’ordre.

 

Elle n’est pas adepte du sexe anal, ou plutôt pas encore.

 

Elle sait que j’aime et régulièrement non titillons cette voie d’accès.

 

Ce soir là, j’essai de la sodomiser en levrette, j’y vais doucement, je rentre dans son sexe pour me lubrifier.Mes doigts, mais également ma  langue, titille son anus si appétissant.

 

J’essai de glisser mon sexe turgescent dans ce petit trou si peu utilisé pour son plaisir.

Cela rentre, doucement, lentement, mais elle ne semble pas y prendre plaisir…

 

Evidemment, ça ne me convient  pas… Je pousse un peu plus, elle à un geste de la main,  geste qui m’intime l’ordre d’arrêter.

 

Je stop, et je m’allonge sur le dos.

« Cela serra plus simple si tu t’empales sur ma queue »

 

Elle s’exécute, se met en position de grenouille au dessus de moi, prend mon sexe entre les doigts de sa main gauche, la droite étant appuyer sur mon torse.

 

Elle commence à pousser, mais son anus est sec, et ma queue aussi.

 

Ca me fait un peu mal, et je lui dis qu’elle ferait mieux de me sucer pour humidifier mon sexe.

Elle s’exécute, puis reprend la position initiale.

 

Elle glisse toute seule au plus profond de son anus.

J’en suis surpris et assez content.

 

Elle s’enfonce toujours plus loin et, arrivé au bout, elle lance un « humm, je suis sur que je peux jouir par là ».

Cette phrase ne m’est pas adressée, à ce moment là, je vois à son regard que c’est une pensée pour elle-même, je ne suis que l’objet qu’elle utilise pour se tester.

 

Pire encore, une fois bien au fond, elle s’allonge sur moi, colle sa magnifique poitrine contre moi, m’offre son cou, que je m’empresse de mordiller… Elle s’offre, mais d’une manière qui m’infantilise, je suis dans son cul, et elle me jette, d’un air presque détacher, comme si elle voulait rapidement en finir, un « fais toi plaisir Chouchou ».

 

Je ne me le fait pas dire deux fois, et j’y vais a fond, c’est la première fois qu’on lui prendras ainsi l’anus, et je sais que, celui-ci lui à rappeler mes assaut pendants environ 15 jours.

Elle a aimé… On a, par la suite, régulièrement joué avec cet orifice.

 

Mais, son attitude, me reste, inconsciemment, au travers de la gorge. Je ne suis ni un objet, ni un enfant à qui on dit quoi faire.

 

Après lui avoir inondé les entrailles (cela fait bientôt 1 ans que nous jouons ensemble, et depuis qu’elle est célibataire, nous avons fait les tests, avec nos autres partenaires, nos relations sont protégées), je vais me chercher a boire.

 

Je lui ramène également un peu d’eau, comme toujours.

 

Elle boit, je m’allonge à ses cotés, derrière elle, et je recommence à jouer avec son corps.

 

Mes yeux s’arrêtent sur ma ceinture, je l’attrape, et lui passe ma ceinture autour du cou, comme un laisse.

Plus je tire plus cela serrera, mais j’avoue ne pas l’avoir fait, ou si peu…

 

Elle se laisse faire, mais quand je me lève et qu’elle comprend que je veux la promener en laisse, elle me lance un regard interrogateur.

 

Elle à sous le nez l’évidence de mon excitation, elle sourit et me prend en bouche. Je tire un peu sur la ceinture.

 

Je recule légèrement, la forçant ainsi a sortir ses bras  du lit et à prendre appui sur le sol pour pouvoir continuer a me sucer.

 

Je la laisse ainsi peu de temps, et continu mon manège, je recule, elle avance.

 

Elle finit, à quatre pattes, sur la moquette, ma queue dans la bouche,  ma ceinture/laisse autour du cou.

 

Je lui retire son os, et la promène dans son propre appartement sans dire un mot.

Elle suit, sans même faire le moindre mouvement pour se redresser, elle reste à 4 pattes.

 

Je m’arrête et me place derrière elle.

 

Elle qui as du mal à mouiller, elle qu’il faut préparer et lécher, elle est trempé jusqu’aux genoux.

 

Je me positionne derrière elle, j’entre d’un  coup, c’est tellement accueillant, si différent de l’habitude…

Je m’acharne, mais plus j’y vais fort plus son sexe s’ouvre, s’offre et se mouille…

 

Je décharge, et je la laisse un instant là comme ça à quatre pattes, offertes.

 

Je lui enlève sa laisse/ceinture, elle ne la regardera plus jamais de la même manière…

 

Elle se lève, et je vois une petite gouttes de cyprine se détacher de son sexe ouvert et venir s’écraser sur la moquette, je lève la tête, et un spectacle plus beau encore s’offre à moi.

 

Un sourire qui dit merci, un regard perdu dans le vague qui prouve son état de jouissance, sa respiration haletante qui m’explique qu’elle n’est pas encore revenue de son orgasme.

 

Et sa main qui nous guide jusque sous les draps. On se blottit, et juste avant qu’on s’endorme un « merci » qui s’échappe de ses lèvres.

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