Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Dans le BDSM, je remarque que, souvent, de nombreux ustensiles sont utilisés...

Menottes, chevillières, raquette (pour la fessée), fouet, masque, martinet, et j'en passe volontairement parce que j'en aurai pour des dizaines de pages.

Pourtant, la nature nous a pourvu, naturellement, d'outils forts et efficaces.

Nos mains pour gifler, frapper, fesser, étrangler, tirer, pénétrer, écarter... Mais aussi tenir, maintenir, porter, museler !
Nos ongles pour griffer et pincer.
 
Mais surtout notre bouche pour embrasser, lécher, sucer, mordiller, mordre... Voir parfois faire un suçon ou même simplement saigner.

J'ai découvert, assez jeune, le plaisir de la morsure sur moi-même !

Je pensais que me sentir mordu me plairait  mais quand une de mes partenaires m’a mordu, réellement j'entends, je ne parle évidemment pas de mordiller, j'ai su que ce n'était pas pour moi.

Alors, qu'est ce qui me plaisait, qu'est ce qui me procurait tant de plaisir quand je me mordais seul?

J'ai réfléchi et ai fini par comprendre. Sentir mes lèvres se poser sur cette une peau si douce, lentement poser mes dents dessus, mordre doucement mais de manière de plus en plus puissante... 
Et surtout, l'optimum, sentir mes dents s'enfoncer, inexorablement, dans la peau. 

Cette sensation si particulière d'avoir un fourreau de chair tendre autour de celles ci.

Jamais je n'ai poussé au point de voir perler le sang, je ne pense d'ailleurs pas que cela me plairait.

Il y a, bien sur, plusieurs façons de mordre.

Les morsures pinçantes, breves et intenses. Elle stimule la réaction nerveuse, la douleur monte comme un éclair. Elles laissent de petites marques

La morsure tendre, qui commence par un baiser, un mordillement, un léger machouillage.
Peu a peu, les dents s'enfonce, la douleur nerveuse n'est qu'accesoire, faible... Elle est vite relayer par la douleurs hormonales, lancinantes et plus prenante...
Ces morsures là marque...