=== Le parcours d'un adolescent formaté vers un adulte libéré ===
Le Dominant, loin d'imposer,
N'est que le guide forestier
De la soumise qui as accepté
Sur les chemin du plaisir
De se laisser guider.
"Les gens croient ce qu'ils ont peur de croire et/ou ce qu'ils ont envie de croire"
T. Goodkind
Elle est maintenant célibataire.
Elle me le fait comprendre, et je dois lui rappeler que j'ai clairement définit la nature de notre relation : amicalement sexuel.
Elle m'appelle, me demande si je peux l'héberger quelques jours sur Paris car elle n'as pas les moyens de payer un hôtel, mais elle aimerai venir.
Avec seulement une pointe d'humour, lointaine et sans conviction, je lui dis que ca me ferait très plaisir, surtout qu'elle devra payer son logement en nature.
Je la sens sourire au bout du fil...
A t'elle compris a ce moment là que je ne plaisantais pas?
Je dois avouer ne jamais lui avoir demander, elle ne l’as donc peut être toujours pas compris.
Elle arrive à la date prévue, fin de journée, elle pose ses affaires et elle vient se coucher d’elle-même dans mon lit.
Je commence a vouloir prendre mon « paiement », elle m’explique qu’elle n’est pas contre mais que c’est pas le bon moment du mois.
Elle a du sentir ma déception, car d’elle-même, elle descend me sucer, je la regarde, et lui demande pourquoi ?
Elle me jette son regard de salope, et me lance « il faut bien que je paie non ? »
Pendant cinq jours, elle me sucera et m’avalera matin et soir.
Chaque fois le même rituel, câlin, pelotage, masturbation mutuelle, et au moment ou je vais venir, m’enfoncer dans sa gorge, elle n’en laissera jamais échapper la moindre goutte.
Elle aime boire du sperme, cela l’excite, lui plait, et elle trouvait que mon sperme a bon goût… Ce qui n’est pas le cas de toutes.
Avant dernier soir, j’en ai marre j’ai besoin de pénétration, d’entrer en elle, de sentir ses chairs s’écarter et céder la place à mon pieu.
Je n’en peux plus, je sors du lit. J’enfile une capote. Elle me dévisage et l’air étonné me lance un « tu fais quoi ? » mais elle ne bouge pas d’un pouce.
Elle est offerte, en levrette, deux secondes auparavant, elle avait ma bite qui lui glissait dans la gorge.
Je lui explique rapidement « j’ai besoin de te pénétrer, j’en peux plus, j’ai trop envie de te défoncer, je vais t’enculer ».
Elle me laisse faire, j’entre dans son cul, sans réel ménagement.
A part un léger mouvement de main, au début, j’ai pu aller et venir à ma guise.
Très vite, nos mouvements se sont accordés, et je me pose alors la question « pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ?»
Elle a bu mon sperme pendant tout son séjour, elle obéissait à mes moindres désirs, il me suffisait de faire, elle pliait... Sans m'en rendre compte, elle était ma soumise...
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