Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Elle est généreuse, et souriante, vu l’heure et la durée de son trajet,
je ne peux qu’être positivement surpris.

Comme je m’y attendais, il y a très peu de monde dans le RER, et j’en profite donc pour lui ordonné de faire
respirer ses seins.

Malheureusement, dès l’arrêt suivant, d’autres personnes montent dans notre wagon…

Nous arrivons chez moi, et je l’installe dans une pièce que j’ai apprêtée pour notre rencontre.

Petite bouteille de champagne, discussion courtoise, je lui demande de petites choses, mais au fur et à mesure,
mon ton se fait plus ferme.

Elle se retrouve nue, chevillières aux pieds, menottes attachées devant, bandeau sur les yeux.
Je lui glisse quelques remarques sur son physique. Puis la guide vers une autre destination.

Je la fais se pencher en avant, mains tendues vers le mur, j’attache les menottes.

Un coup de ceinture, elle se plaint. J’en mets un deuxième, elle râle négativement et se dandine.
Je ne voulais pas en mettre plus. Mais le sait-elle ?

Je l’inspecte, je scrute la moindre parcelle de sa peau.
Je soupèse dans le creux de mes mains ses formes appétissantes.

Elle se plaint d’avoir mal au dos dans cette position, que son collier est trop serré.
Je glisse un doigt entre son cou et son collier…
« Un doigt passe facilement, c’est très bien comme ça, alors arrête de te plaindre ».

Je la pénètre d’un coup, ça rentre tout seul, elle est trempée. C’est plutôt plaisant de savoir qu’on est apprécié.

J’aime qu’une femme goûte à son propre plaisir. Dans un élan de générosité, je cesse de la besogner,
et lui enfonce mon sexe en gorge.

Elle est avide, et c’est fort plaisant à regarder.

Je joue avec elle comme ça pendant un moment.

Son mal de dos revenant trop souvent, je la détache, et la couche sur le canapé.

Je libère ses mains et ses yeux.

La rougeur de ses joues me prouve que j’avais raison, le collier est serré juste ce qu’il faut pour restreindre
sa respiration, et donc faciliter l’orgasme.

Il est très tard, ou très tôt, et je bosse le lendemain. Il faut finir vite.

Je l’allonge sur le dos, la tête pliée, ce qui accentue l’effet du collier, les jambes sur mes épaules…
Et je la besogne jusqu'à ce qu’on jouisse.

Nous quittons la pièce, et allons nous coucher dans mon lit.

Nous discutons, elle m’avoue avoir perdu pied et ne plus savoir exactement ou elle en était.
Mais, qu’elle a adoré cette sensation de jouissance à la limite de l’évanouissement.

Afin, de m’endormir de manière relaxer, je lui mets ma queue en bouche, elle ne rechigne pas,
mais, apparemment, elle ne comprend pas que je veux juste une caresse buccale pour m’endormir
et pas pour jouir.

Son application est telle, que je ne peux m’empêcher de la monter de nouveau…

Ce petit jeu durera jusqu’as 5 heures de matin. Et la journée qui suivit fut particulièrement difficile.