Mercredi 20 juin 3 20 /06 /Juin 12:19
- Publié dans : Les pas qui m'ont mené au D/s
Par Domicerebral2
Une rencontre du net, encore une fois.

Je lui donne RDV dans Paris, au premier contact, j’ai une pensé pas très sympa :
on dirait Peggy la cochonne du « Muppets Show ».

Mais au lieu de me faire la bise elle me roule direct une pelle et je dois avouer qu’elle est très douer.

Je lui propose soit d’aller boire un verre, soit d’aller directement chez moi.

Elle me prend par la main et me dirige vers le RER, le message est clair !

On échange quelque baiser et caresse pendant le trajet,
et elle me dit que sa première pensée en me voyant était très positive.

Je m’en veux de m’être limité au physique, et j’essaie d’être gentil.

On arrive chez moi, on s’est bien chauffé dans le trajet, elle me dit qu’elle est habituellement « sèche »,
mais que, là, elle est inondée.

Je prends ça pour un compliment.

Je la pousse sur mon lit, la déshabille, et un filet de son plaisir se forme entre son sexe et son string.

Bien que physiquement pas terrible, elle est transcendée par l’acte sexuel,
je n’ai plus l’impression d’avoir Peggy mais une femme superbement désirable.
Son regard, je pense, joue beaucoup dans cette transformation.

Elle me chevauche, très sensuellement, puis je la prends en levrette, et nous jouissons ainsi.
Elle tremble, puis d’un seul coup se retourne et m’embrasse partout, une pluie de petit baiser,
avec un grand sourire aux lèvres.

Nous nous reposons, puis nous repartons pour un peu de sport.
J’aime l’anal et je lui fais comprendre, elle se laisse tenter.

Je la rassure, lui dit que j’arrêterai si elle à mal. Et c’est là que je ne suis pas fière de moi.
J’y vais en douceur, elle se laisse faire, je la prends de plus en plus fermement,
elle ondule peu a peu à mon rythme.
Elle se laisse envahir…

Ce jour-là le démon en moi s’échappe, je ne le contrôle plus, j’ai envie de la déchirer.
J’y vais de plus en plus fort, je la sens se tendre, mais je n’y prête guère attention,
je suis concentré sur la monté de mon excitation et de mon plaisir.

Peu avant que je jouisse, elle me dit qu’elle ne peut plus…
Je lui réponds « Non pas maintenant »

Je viens rapidement, mais la limite est franchie, je n’ai pas respecté ses désirs.
J’ai appris, ce jour-là, une chose très importante pour moi,
dominer ce n’est pas faire abstraction de l’autre, ce n’est pas assouvir uniquement ses propres fantasmes,
c’est les partager.

Si jamais tu me lis et te reconnais sache que je suis sincèrement désolé.
Mais tu m'as appris beaucoup en seulement une rencontre.
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Commentaires

c'est deja bien de reconnaitre ses erreurs et de vouloir sans servir pour devenir meilleur! a mon sens c'est une tres grande qualité meme si ça ne s'est pas passé sans douleur... pour moi le bdsm, c'est vraiment un échange, j'ai fais des choses qui de prime abord n'était pas dans mes fantasmes mais parce que j'avais envie de faire plaisir à mon Maître et c'est l'envie de partager quelque chose d'unique, de nous sublimer ensemble qui fait que le plaisirs est si intense... enfin ce n'est que mon avis qui n'engage que moi !
commentaire n° :1 posté par : aliana le: 20/06/2007 à 13h46
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