Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Je tenais a vous présenter D.L. (rien à voir avec du téléchargement), c'est une jeune femme avec qui j'ai beaucoup discuter via net. Elle est situer si je ne me trompe pas pendant K.M.

Nos discussions furent longue, pendant près de deux ans je crois.
Elle sortait d'une opération très lourde en termes de suivie médicale.

Nous parlions de tout, comme on dit "de la pluie et du beau temps".

Un jour pourtant, je ne saurai dire quand exactement, cela a déraper vers du cul.

Et, à plusieurs reprises, nous avons joué au téléphone. 

L'envie de se voir, de se découvrir est arrivé. Il fallait attendre l'occasion.

Celle ci est arrivé quand une de mes partenaires m'as dit qu'elle pouvait me laisser son appartement pendant un week end. 

J'en parle a D.L., qui saute sur l'occasion et prend ses billets de train... 

A partir de ce moment là, sa peur que je ne sois pas là quand elle descendra du train est quasi omniprésente.

Le fait de venir rencontrer un homme qu'on a jamais vu sachant pertinement qu'on va très vite passé à l'acte...
C'est un peu flippant, mais aussi très excitant.

Je la rassure, lui explique que je serais là pour l'accueillir... 

Son train arrive, j'ai eu des photo d'elle, mais étrangement à ce moment là, je ne me rappelle pas vraiment de ce à quoi elle ressemble. Je me souviens de sa voix surtout. Nous sommes en début de soirée.

Elle est toute petite, mais ça je le savais. Elle est habillé à la garçonne, pas tres féminin.

Je l'aide à porter son sac, et nous nous dirigeons vers l'appartement de mon amie.

Arrivé sur place. je pose son sac, elle s'asseoit sur le lit...
Directement, elle me demande "ben, j'ai jamais fait de rencontre de ce genre, comment on fait"
Je suis un peu pris au dépourvu.

Encore une fois je la rassure, m'assieds à coté d'elle l'embrasse...
Sous ses vêtements d'homme, elle à un très beau corps de femme, je sais qu'elle ne me croit pas mais ses seins son d'une beauté exceptionnel.

J'en suis encore au "calins" qu'elle me murmure à l'oreille "vas y franchement, sinon j'ai peur que ça ne rentre pas".
Je m'execute, lui écartant les cuisses, j'entre en deux fois. Au premier mouvement, elle se mordille le coté de la levre inférieur, c'est mignon. Dans un deuxieme coup de hanche, je me perd entièreent en elle.

A ce moment là, je ne le sais pas encore, mais nous partons pour près de cinq heures de joute sexuelle, qui l'useront pour le reste du week end.

Le lendemain, je me réveille et essai de repartir pour quelques galipettes.
A peine ai je rentré le bout qu'elle crie de douleur.

Je m'arrête, elle m'explique qu'on y a été trop fort la veille.
Je glisse contre son corps pour la caresser de ma langue.

Elle recoit ce cadeau, et m'offre le même...

Nous passerons tout le week end, ou presque, en 69.

Mais le dimanche, nous sommes l'un et l'autre brulant, la douleur lui brule toujours les entrailles.
Je n'en peux plus, j'ai envie de la pénétrer, de sentir sa chatte brulante et serré contre ma bite.

Je la prend alors en levrette, je la sens se raidir, je lui dit que je vais faire vite mais que je n'en peux plus.

Sentir son bassin qui subit et qui tente de fuir décuple mon ardeur, je sais qu'elle à mal, mais je sais aussi qu'elle veut me donner ce plaisir.

Des larmes coulent au creux de ses yeux, elle mord sa lèvre, elle souffle et je viens. 
Je ressens ce plaisir spécifique... Indéfinissable.

Je sors, je la caline, je l'embrasse et lui murmure doucement "merci"