Du fleur bleu au Dominant romantique et libertin.

Comme je l'ai dit plus haut, raconter ma première soirée libertine serait sauter les étapes...

Comme tout adolescent, j'ai regardé des pornos, je me suis masturbé devant et j’ai pris du plaisir à le faire…

En cela, je ne suis pas tant différent des autres personnes de mon âge,
la différence est peut- être dans le style très bohème et nature de ma famille.
Quoi qu’il en soit, le sexe n’as jamais été un sujet proscrit, tabou ou considéré comme sale.

Mon approche du sujet était donc, presque, sans à priori…

Mes premiers amours et expériences sexuelles d’adolescent rentraient parfaitement dans le cliché :
été, plage, promesse d’amours éternels et son cortège de déception (distance, lassitude, jalousie).

Puis vint la grande période des « coups d’un soir » (ou deux).

Contrairement a mes fréquentations masculines de l’époque (amis, potes etc),
je n’ai jamais mentit à ce que j’appelle mes « partenaires de jeux ».
Et étrangement, contrairement à ce que « la société » répétait sans cesse,
cela s’avérait bien plus efficace que les pipeaux mielleux et insipide des plans drague classique.
Pourtant cela ne remettait pas encore en question ma vision classique du couple que je souhaitais former :
l’amour fou, la fidélité de cœur et de corps, l’absence de désir pour une autre que l’élu de mon âme…

En tout cas, jusqu’as la découverte du net et de ses chats.

Sans parler des sites porno qui envahissent la toile,
car c'est sur des sites « propres sur eux » que j’ai commencés à discuter.
Parlant de tout mais surtout de sexualité, de la vision des autres,
de la place des sentiments dans le sexe et évidemment de la dissociation « faire l’amour » et « baiser ».

Mes interlocutrices (instinctivement je ne me suis jamais intéressé aux discussions avec des hommes)
étaient de Lyon, Marseille, Toulouse, Lille et parfois proche de ma propre ville.
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